AHURISSANT !!!! - Le devenir commercial de la place Saint Amé n'est pas le problème de la ville ...
La place Saint Amé
Où comment le Maire - Adjoint au commerce,
se désintéresse de l'avenir
Où comment le Maire - Adjoint au commerce,
se désintéresse de l'avenir
Les nouvelles de Douai - Rappel Septembre 2001 ;
suite aux discussions lors du Conseil Municipal du 7 juillet 2001
suite aux discussions lors du Conseil Municipal du 7 juillet 2001
La place Saint Amé est massacrée !
< Projet S.I.A., permis délivré par Jacques VERNIER - Maire de Douai >
< Projet de Léopold PONS, écarté >
Il s'agissait de créer sur la place Saint Amé, un village de restaurant dans le style des maisons traditionnelles ; afin d'attirer de nombreux visiteurs par une animation adéquate tel :
> la place du Tertre à Paris
> la place Plumereau à Tours
> la grande place à Brugges
> la place du Tertre à Paris
> la place Plumereau à Tours
> la grande place à Brugges
Si vous êtes d’accord, avec la proposition de :
Léopold PONS, Conseiller Municipal de la liste apolitique «DOUAI GAGNANT»,
Faites le nous savoir ! et Sauvons DOUAI …
à retourner à "La Maison de Léopold" - 1, rue d'Arras 59500 DOUAI
Nom : ………………………..……….....................……. Prénom : ……………………..………..........
Adresse ……………………………………………………………................................................….
Code postal : ………………….. Ville : …………………………………….......................................
Téléphone : ……………...……………….. E-Mail : ………………………......................................
> Soutien la proposition de créer un village de restaurant et
une animation adéquate sur la place Saint Amé.
Et ajouter vos contacts , dans les commentaires - Merci
DOUAI
avec Léopold Pons
OUI, j'y crois ...
avec Léopold Pons
OUI, j'y crois ...
La place Saint Amé
Où comment le Maire - Adjoint au commerce, se désintéresse de l'avenirLa place Saint Amé est encore un des lieux douaisien ou règne au travers du marché qui s'y tient le Samedi, une atmosphère conviviale et sympathique. Un restaurant, et trois bistrots, complètent le décor.
Lors du conseil municipal du 7 juillet 2001 où devait être votée la délibération concernant la vente de deux immeubles de la place une vive discussion entre Jean Jacques Delille (Démocratie Libérale liste Vernier) et Léopold Pons au sujet de la destination de ces immeubles permet de se faire une idée sur la façon dont l'équipe municipale compte intervenir dans l'avenir de la ville. Et que vive la démocratie libérale ......................
Lieu au riche passé historique, au coeur de Douai. une collégiale y fut érigée au 10ème siècle. Philippe De Bernay qui en fut le chanoine construisit en 1512 sur une parcelle voisine Le Romangnant ? D'innombrables pèlerins y venaient prier St Maurand dont la fontaine qui jouxte la place dispensait une eau aux vertus miraculeuses............
La collégiale fut démontée et revendue en matériaux le lendemain de la révolution. La place prend alors un aspect voisin de celui actuel.
Dans le cadre de ses objectifs d'embellisements de la ville, la municipalité acquiert vers 1994 l'ensemble immobilier de la famille Lefevre qui y exerçait en dernier lieu négoce de fruits et mûrisserie de bananes. Cette activité succéda à l'activité de négoce et torréfaction de cacahuètes dont la marque "Lion d'or" fut nationalement connue et positionnée parmi les leaders de la profession.
Après acquisition de ces biens immobiliers, la ville après avoir procédé à la destruction de la tour qui y abritait la mûrisserie de bananes, a par délibération du conseil municipal démarré un processus de réflexion sur le devenir urbanistique de la place. La ville a confié un budget de 150.000 FF à une société parisienne, pour le lancement d'un concours d'architectes.
Puis lors d'un précédent conseil municipal la décision de mise en vente de l'ensemble immobilier (voir photo) été adoptée à l'unanimité pour le prix de l'évaluation des domaines soit 1.800.000 FF.
Lors du conseil du 7 juillet 2001 devait être votée la vente de ce même ensemble pour 500.000 FF pour une opération immobilière transformant les immeubles en locaux d'habitation et en local pour profession libérale.
François Ducrocq intervint au nom de la liste de Marc Dolez pour regretter la destination de ces immeubles. Léopold Pons suggéra quant à lui, qu'étant donné l'étude en cours sur le devenir urbanistique de la place il serait judicieux d'y inclure une étude commerciale. Ceci afin de déterminer s'il y a un intérêt à y implanter commerce, restaurant ou autre activité (NDLR et pourquoi pas des boxes pour le marché) afin de redonner vie à cette place si sumpathique.
Selon le cas on aurait peut être alors intérêt à céder au promoteur immobilier l'ensemble pour 1 FF en lui imposant la contrepartie une réalisation conforme au résultat de l'étude.
Après cette intervention, le Maire-adjoint Jean-Jacques Delille prit la parole pour nous dire : "Je crois sincèrement qu'il ne suffit pas de créer une cellule commerciale pour avoir un commerçant......" "la simple création d'un lieu n'est en soit pas suffisante......." Mr Delille dans une attitude d'une légéreté ahurissante oublie que si ce n'est pas suffisant, c'est nécessaire sinon indispensable, et que si la ville propose un emplacement l'intérêt que lui porteront les commerçants sera la deuxième étape.
Mr Delille ......... "je ne crois pas à la possibilité pour la puissance publique de créer une activité commerciale simplement en offrant des lieux destinés au commerce - Ce n'est pas vrai !"
De plus en plus incroyable demandez si Euralille n'est pas une volonté de la municipalité lilloise - Certes ce n'est pas la même dimension mais l'attitude demeure.
Au nom de la sacro sainte unité de la liste de M. Le Maire malgré certains regards réprobateurs, aucun conseillers de la majorité ni même Mme Dehaese présidente de l'union du commerce et conseillère sur le liste Vernier, ne prit la parole. On se croirait au Kremlin du temps de Staline, gare au goulag pour eux qui oseraient avoir un avis qui aurait changé après la décision du polit Buro !!!!
Je laisse le lecteur juge des propos de M. JJ Delille ... futur Maire !!!!!????
Quoique limitées, mes possibilitées sont réelles. Aussi ai-je introduit auprès de la ville un recours gracieux pour suspendre la vente. Peut être que cette demande servira le courant de la majorité qui, tout en n'approuvant pas la position de Delille, ne pouvait pas se résigner au vote pour une opération immobilière au nom de la cohésion majoritaire.
Mais au nom de la cohérence logique dissocier l'étude urbanistique et d'activité de la place est une erreur sinon une faute.
Prions Saint Maurand un miracle va peut-être se produire !!!!!
Léopold Pons.
Les nouvelles de Douai - Rappel Septembre 2001 ;
suite aux discussions lors du Conseil Municipal du 7 juillet 2001.
Lors du conseil municipal du 7 juillet 2001 où devait être votée la délibération concernant la vente de deux immeubles de la place une vive discussion entre Jean Jacques Delille (Démocratie Libérale liste Vernier) et Léopold Pons au sujet de la destination de ces immeubles permet de se faire une idée sur la façon dont l'équipe municipale compte intervenir dans l'avenir de la ville. Et que vive la démocratie libérale ......................
Lieu au riche passé historique, au coeur de Douai. une collégiale y fut érigée au 10ème siècle. Philippe De Bernay qui en fut le chanoine construisit en 1512 sur une parcelle voisine Le Romangnant ? D'innombrables pèlerins y venaient prier St Maurand dont la fontaine qui jouxte la place dispensait une eau aux vertus miraculeuses............
La collégiale fut démontée et revendue en matériaux le lendemain de la révolution. La place prend alors un aspect voisin de celui actuel.
Dans le cadre de ses objectifs d'embellisements de la ville, la municipalité acquiert vers 1994 l'ensemble immobilier de la famille Lefevre qui y exerçait en dernier lieu négoce de fruits et mûrisserie de bananes. Cette activité succéda à l'activité de négoce et torréfaction de cacahuètes dont la marque "Lion d'or" fut nationalement connue et positionnée parmi les leaders de la profession.
Après acquisition de ces biens immobiliers, la ville après avoir procédé à la destruction de la tour qui y abritait la mûrisserie de bananes, a par délibération du conseil municipal démarré un processus de réflexion sur le devenir urbanistique de la place. La ville a confié un budget de 150.000 FF à une société parisienne, pour le lancement d'un concours d'architectes.
Puis lors d'un précédent conseil municipal la décision de mise en vente de l'ensemble immobilier (voir photo) été adoptée à l'unanimité pour le prix de l'évaluation des domaines soit 1.800.000 FF.
Lors du conseil du 7 juillet 2001 devait être votée la vente de ce même ensemble pour 500.000 FF pour une opération immobilière transformant les immeubles en locaux d'habitation et en local pour profession libérale.
François Ducrocq intervint au nom de la liste de Marc Dolez pour regretter la destination de ces immeubles. Léopold Pons suggéra quant à lui, qu'étant donné l'étude en cours sur le devenir urbanistique de la place il serait judicieux d'y inclure une étude commerciale. Ceci afin de déterminer s'il y a un intérêt à y implanter commerce, restaurant ou autre activité (NDLR et pourquoi pas des boxes pour le marché) afin de redonner vie à cette place si sumpathique.
Selon le cas on aurait peut être alors intérêt à céder au promoteur immobilier l'ensemble pour 1 FF en lui imposant la contrepartie une réalisation conforme au résultat de l'étude.
Après cette intervention, le Maire-adjoint Jean-Jacques Delille prit la parole pour nous dire : "Je crois sincèrement qu'il ne suffit pas de créer une cellule commerciale pour avoir un commerçant......" "la simple création d'un lieu n'est en soit pas suffisante......." Mr Delille dans une attitude d'une légéreté ahurissante oublie que si ce n'est pas suffisant, c'est nécessaire sinon indispensable, et que si la ville propose un emplacement l'intérêt que lui porteront les commerçants sera la deuxième étape.
Mr Delille ......... "je ne crois pas à la possibilité pour la puissance publique de créer une activité commerciale simplement en offrant des lieux destinés au commerce - Ce n'est pas vrai !"
De plus en plus incroyable demandez si Euralille n'est pas une volonté de la municipalité lilloise - Certes ce n'est pas la même dimension mais l'attitude demeure.
Au nom de la sacro sainte unité de la liste de M. Le Maire malgré certains regards réprobateurs, aucun conseillers de la majorité ni même Mme Dehaese présidente de l'union du commerce et conseillère sur le liste Vernier, ne prit la parole. On se croirait au Kremlin du temps de Staline, gare au goulag pour eux qui oseraient avoir un avis qui aurait changé après la décision du polit Buro !!!!
Je laisse le lecteur juge des propos de M. JJ Delille ... futur Maire !!!!!????
Quoique limitées, mes possibilitées sont réelles. Aussi ai-je introduit auprès de la ville un recours gracieux pour suspendre la vente. Peut être que cette demande servira le courant de la majorité qui, tout en n'approuvant pas la position de Delille, ne pouvait pas se résigner au vote pour une opération immobilière au nom de la cohésion majoritaire.
Mais au nom de la cohérence logique dissocier l'étude urbanistique et d'activité de la place est une erreur sinon une faute.
Prions Saint Maurand un miracle va peut-être se produire !!!!!
Léopold Pons.
Les nouvelles de Douai - Rappel Septembre 2001 ;
suite aux discussions lors du Conseil Municipal du 7 juillet 2001.